Jeune gay cherche Daddy Dom 1

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il y a 1 mois

Lucas est un jeune homme qui, de par sa petite taille n’a pas eu grand succès auprès des filles qu’il n’appréciait pas plus que ça. Mesurant un mètre soixante et pesant 54 kilos tout mouillé à seize ans, taille qui n’a pas évolué depuis, il n’entrait pas vraiment dans la recherche des filles préférant les beaux pectoraux. Essuyant échec sur échec avec la gente féminine, le gringalet de l’école avait fini par se faire une vie imaginaire, une vie de solitaire.

Un évènement scolaire aux douches de la piscine a perturbé sa vie de jeune homme. Repéré par un vieux pervers, il ne s’est pas enfui et n’a pas hurlé quand le vieux lui a porté une attention particulière. Certes, si se faire laver le dos par un « copain » ne lui a pas déplu, il n’a été que gêné lorsque la douche est devenu plus « tactile » sur d’autres parties de son corps. Pour une fois, quelqu’un s’intéressait à lui, un peu comme si il était une fille et ce n’était pas désagréable du tout. Ce premier contact charnel fut le début de très nombreux rêves et films érotiques dans sa libido. Entre ses seize et dix-huit ans, ses autres contacts charnels se limitèrent à sa main droite et son oreiller qu’il appréciait mettre entre ses cuisses.

Etant des politiques aisés travaillant à l’Union Européenne, ses parents sont souvent absents pour raisons professionnelles, mais aussi pour cause de nombreux voyages à l’étranger, sortes de vacances touristiques aux frais des contribuables. De fait, il disposait de beaucoup de liberté et, pour ses loisirs, d’une somme mensuelle d’argent de poche supérieure à un SMIC.

Le personnel de maison se limitant à une bonne embauchée à temps plein, ses soirées ressemblaient à 16 ans à celle d’un jeune célibataire aisé. Autant dire qu’il ne regardait pas TF1 le soir à la télévision, les films pornographiques berçaient ses fantasmes. C’est ainsi qu’il découvrit un soir l’ABDL. Il s’acheta des couches sur internet avec une des cartes de paiement de son père pour essayer.

Le test fut concluant, uriner dans une couche générait des sensations très agréables, un peu comme des caresses, caresses qu’il n’avait eu que dans ses rêves et lors de la rencontre avec le vieux pervers. Deux ans plus tard, l’envie et le besoin de contacts physiques le poussa à passer une annonce sur Abkingdom et Fessestivites.

« Jeune 18 ans, en recherche d’un Daddy Dom gentil pour jeux en couche ».

Les photos de son petit fessier postées sur son profil firent sensation, les demandent affluèrent. Il ignora celles étant à des centaines de kilomètres de chez lui puis celles des « très vieux » puis celles lui proposant de devenir Daddy puisqu’il ne se voyait pas s’occuper des fesses des autres.

Un gay de 45 ans très porté sur le sexe mais doué en drague, sut par sa douceur l’apprivoiser. C’est ainsi que Daddy Patrick entra dans sa vie de puceau. Lors de la première rencontre, le Daddy se crut à l’Élysée lorsqu’il sonna au portail d’une magnifique villa, presque un château situé dans un des beaux quartiers de Paris. Si il avait hésité par peur d’un piège de bourge, il ne fut pas déçu en voyant le petit jeune sur le perron de l’immense demeure. Un vrai petit bout de choux l’attendait en se tordant les doigts de peur.

Par prudence, Patrick fut très réservé lors des premiers échanges, un peu comme s’il avait peur que des caméras le filment. Doutant de l’âge de Lucas paraissant 15 ans maximum, pour se sécuriser il lui demanda de lui faire voir sa carte d’identité. Une fois rassuré sur l’âge et que l’images des grilles de la prison aient disparu de son cerveau, il devint plus entreprenant. En le faisant parler, Patrick cerna mieux le profil de ce petit jeune mignon à croquer et qui ne tarderait pas à l’être.

Pour ne pas l’affoler, le Daddy lui proposa de lui montrer sa chambre pour pouvoir le langer comme un gros bébé pas encore propre. Encore une fois, il s’étonna en découvrant la dite « chambre » meublée avec du mobilier que l’on ne trouve pas chez Ikéa ou Conforama et aussi grande que son appartement. Lucas très gêné parvint à lui donner la couche qu’il devait lui mettre, mais ce fut une étape bien difficile. En Daddy expérimenté, Patrick avait pris par précaution des lingettes, du lait de bébé puis, au cas où, des préservatifs et du lubrifiant. Si de toute évidence, le « petit » ne passerait pas sous la couette le soir même, il fallait malgré tout le bousculer un peu pour le débloquer.

Après avoir posé son sac de voyage sur le lit baldaquin, il attrapa Lucas par la main pour le tirer presque contre son gré et l’allonger sur le lit afin de le langer. Menacé de prendre une fessée, pas du tout rassuré, le « petit » céda au Daddy faisant le double de sa taille et de son poids. Si le survêtement Adidas choisi par Lucas pour le recevoir faisait jeune et décontracté, il n’offrit que peu de résistance aux grosses paluches bien décidées à le déshabiller. Le pauvre puceau se retrouva sans chaussure et en slip en moins de deux. Avant même qu’il ait le temps de réagir il fut déculotté, ce qui offrir au regard du colosse gourmand la vision de son intimité que nul poil ne gâchait.

  • Tu t’épiles ?

  • Non, je suis quasiment imberbe ! J’ai juste mis un petit coup de rasoir. Répondit Lucas quasiment en chuchotant comme si on pouvait l’entendre.

  • Tu es vraiment très beau, j’adore ton petit robinet ! Lui répondit Patrick avant d’ajouter qu’il lui fallait le laver avant de le mettre en couche.

Excité comme une puce, le Daddy gay eut bien du mal à ne pas goûter la petite saucisse grossissant un peu pendant la toilette.

  • Oh, tu bandes, nous n’allons pas avoir le choix, il faut la faire cracher pour pouvoir la mettre correctement dans la couche où tu auras des fuites !

  • C’est obligé ? Demanda Lucas très gêné.

  • Ben oui quoi, c’est normal, c’est toujours comme ça qu’il faut faire ! Mentit Patrick.

Pour jouer le jeu du Daddy câlin « désintéressé », il montât sur le lit pour s’asseoir et le prendre dans ses bras pour un câlin paternel avec comme différence, une main sur la petite quéquette. La verge de Lucas ne fait que 2 centimètres de diamètre et une douzaine de longueur, elle est petite mais jolie, attendrissante dirait son daddy. C’est lové dans le bras de Patrick que Lucas eut son premier orgasme avec quelqu’un. Accroché à son cou comme un gamin contrarié, il crut défaillir quand il éjacula et fut pris de contractions.

Si ses petits couinements de puceau rendaient Patrick fou de désirs de « plus », il sut se contenir et ne le croqua pas, des projets bien plus ambitieux se dessinant dans son esprit. Après l’avoir dorloté, il redevint très « professionnel » si l’on puit dire ainsi. Lucas fut allongé, toiletté et mis en couche par un expert.

  • As-tu une culotte en plastique et un body ou un pyjama ?

  • J’ai des pyjamas mais rien qui ne soit ABDL. Tu pourrais m’en procurer ? Je les paierai bien sûr, il suffira que tu me dises combien.

  • Pas de soucis, tu as quel budget ?

  • 400 ou 500 euros, cela suffira ? Demanda Lucas totalement déconnecté du prix de la vie.

Patrick éclata de rire, avant de lui répondre que oui, cela irait. Il ajouta même que pour ce prix, il en aurait même une petite garde-robe ABDL. Après lui avoir enfilé un pyjama en jersey, il lui demanda si il avait un biberon et une tétine. Devant la réponse négative, son Daddy lui proposa de lui en fournir la prochaine fois qu’il viendrait.

  • Alors ça veut dire que tu acceptes d’être mon daddy ? Demanda Lucas si ému qu’il en avait les larmes aux yeux.

  • Oui bébé, je vais devenir ton Daddy et bien m’occuper de toi, c’est promis.

Après s’être lové sur les genoux de son Daddy et avoir eu un gros câlin « presque » paternel, Lucas fut triste de le voir partir et Patrick de ne pas avoir croqué le petit. Ils convinrent de se revoir la semaine suivante pour une soirée plus longue. Patrick repartit avec une poignet de billets.

CHAPITRE DEUX

Patrick et Lucas échangèrent par internet et texto pendant la semaine. Aussi excité l’un que l’autre, ils n’avaient qu’une hâte, se retrouver pour jouer, voir plus dirait Patrick bien décidé à pousser le bouchon bien plus loin que de simples jeux ABDL entre garçons.

La semaine suivante, les parents de Lucas étant encore en voyage, ils purent se voir le jeudi soir. Patrick put se garer dans le parc de la somptueuse maison. Il arriva avec un sac de voyage en lui annonçant qu’il avait des vêtements pour son bébé avec un grand sourire posé sur les lèvres. Autant dire que Lucas se comporta réellement comme un gamin pressé de tout voir.

Pendant que Patrick sirotait une flutte de champagne grand cru de la cave de la famille, Lucas eut le droit de voir les « surprises » que son Daddy avait apportées. C’est ainsi qu’il eut sa première grenouillère, sa première culotte en plastique, un body, un biberon, une tétine et un magic wand massager.

  • Ce gros vibro c’est pour les femmes non ? Demanda Lucas en faisant voir le magic wand massager puissance 10.

  • Oui et non, c’est une surprise et quelque choses que je vais te faire découvrir, tu vas adorer ! Donne-moi ton biberon que j’y mette du champagne, je ne peux pas boire seul quand même !

Une fois rempli, le biberon trouva sa place mais uniquement après que Patrick l’ait pris sur ses genoux pour le lui donner. Si le champagne fait tourner la tête après plusieurs fluttes, au biberon c’est pire et ça, son daddy pervers le savait pertinemment. Si bien que pendant qu’il terminait le troisième, il trouva génial que Patrick joue avec le magic entre ses cuisses.... La petite saucisse apprécia grandement tout en regrettant d’être prise dans un carcan de tissu.

  • Bon, il est temps d’aller à la douche ! Déclara Patrick en aidant son bébé un peu pompette à se lever.

Patrick s’étonna encore une fois de la surface et du luxe de la salle de bain équipée d’une douche géante et d’une immense baignoire jacuzzi où il câlinerait bien avec le petit. Encore une fois, il se retint pour ne pas trop bousculer les événements. Il se limita à dévêtir Lucas et à le laver avec beaucoup d’attentions. Comme l’on peut s’en douter, le Daddy s’attarda sur les zones « sales » situées au centre du corps. Au départ, ce fut avec un gant, qui, par « accident » tomba, ce qui obligea le Daddy à continuer avec les mains.

Une fois séché, très bien séché... Lucas se retrouva en peignoir dans les bras de son Daddy bien décidé à le conduire au salon pour finir la bouteille de champagne avant d’aller « au dodo ». Les bulles firent leurs effets si bien que Lucas ne s’offusqua pas, bien au contraire, que son Daddy joue avec son petit robinet. Le sentant bien parti, c’est là que Patrick passa à l’attaque en lui demandant si il avait déjà été avec une fille. Très gêné Lucas lui avoua que non.

  • Quoi, personne ne t’a jamais fait une fellation ? Mais il te manque quelque choses de géant ! Je vais me dévouer pour te faire découvrir ça, crois-moi sur parole tu ne le regretteras pas. Viens, je vais t’en faire une juste avant de te langer et de te préparer pour la nuit.

Bien que pompette, Lucas fut réticent mais sous la pression psychologique de son Daddy très motivé, il accepta de se laisser faire si il éteignait la lumière. Porté dans la chambre éclairée uniquement par un raie de lumière du couloir, il se retrouva allongé sur le lit à côté de son Daddy très câlin et se voulant rassurant. Lorsque Patrick prit sa petite saucisse dans sa bouche chaude, Lucas ne put retenir un gémissement de plaisir. Son expertise de gay ne tarda pas à faire transformer la saucisse môle en petit saucisson bien dur et à tirer d’autres gémissements à son propriétaire.

Tout en malaxant délicatement les petites boules, Patrick se sustentait avec cette mini quéquette lui rappelant sa jeunesse. Si bien que lorsque ses mains attaquèrent les petits tétons, il ne fallut que quelques secondes pour que le corps de Lucas se tende comme un arc avant d’exploser dans un plaisir nouveau et si fort qu’il crut en mourir. Le gay très motivé ne lâcha pas « l’affaire » et continua de le sucer pour ne rien perdre de ce précieux nectar, ce qui généra d’autres « plaintes principalement faites de « Ah ».

Epuisé, repus et nageant sur un nuage, il ne prit pas ombrage que son Daddy lui vole un simple baiser qu’il aurait bien fait durer. C’est à ce moment là, que Lucas prit Patrick dans les bras pour un baiser fougueux qui le surprit agréablement. La langue du « vieux » savoura la langue du petit jeune, ses lèvres tendres tout comme les petits grognements. Le gay à deux doigts d’imploser se retint pour ne pas culbuter cash le grand bébé en perdition.

Pour fuir son envie de copulation sauvage, il se leva pour aller chercher de quoi langer et coucher le « petit ». A son retour, il lui demanda de fermer les yeux pour ne pas être ébloui, stratégie visant surtout à éviter la gêne des regards après l’expérience et la fougue du puceau qui n’allait pas le rester longtemps à ce rythme là. La quéquette au repos ne posa pas de problème pour être pliée dans la couche, même après que son Daddy lui ait mis un peu de lait de bébé. La culotte en plastique trouva sa place avec aisance, Lucas ayant soulevé ses fesses sans penser qu’il offrait le devant de sa couche à quelqu’un qui pouvait à tout moment devenir un prédateur. Le body ne tarda pas à venir compléter le dispositif de défense.

Lucas fut alors invité à se lever pour le raccompagner mais en grenouillère pour ne pas qu’il n’ait froid. C’est donc dans cette tenue et en le lâchant dans sa couche que les larmes aux yeux, il regarda partir son Daddy. Dès qu’il eut franchi le portail, Lucas se précipita à la salle de bain pour se voir ainsi vêtu. S’ils pouvaient parler, les miroirs vous diraient qu’ils n’avaient jamais vu le gamin si heureux auparavant.

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Les soirées se multiplièrent et prirent assez rapidement la forme d’une relation DDLB. (Daddy Dom Little Boy) Lucas ne tarda donc pas à recevoir sa première fessée lorsque Patrick décida de s’intéresser au petit cratère camouflé de son si joli petit cul. Le prétexte de départ fut que son Daddy le trouva chaud ce qui justifia de lui prendre la température. Très gêné et peu motivé pour être touché entre les fesses, le « petit » se rebella en voyant le thermomètre. Attrapé par le bras après une douche très tactile, il fut tiré jusqu’à la chaise de la salle de bain et se retrouva couché sur les genoux de Patrick.

Lucas essaya de fuir en râlant, cela n’eut pas beaucoup d’effet entre les bras d’un colosse d’un mètre quatre-vingt dix avec ses cent cinq kilos de muscle. Lorsque la première claque s’abattit sur son petit cul, il poussa un cri de douleur, ce qui n’altéra en rien la motivation de son Daddy très motivé. Couché sur les genoux, hormis se débattre et plier les jambes, il ne put éviter l’avalanche cuisante de cette première correction. La main de Patrick faisant le double de celle de Lucas, à chaque claque elle écrasait les petites fesses et marquait le flan droit puisque le « battoir naturel » dépassait largement la taille de son petit cul. Autant dire que, pour son propriétaire, cette fessée était réellement punitive.

En voyant l’épiderme du fessier passer du rouge au bleu, Patrick se modéra et en vint aux claques et caresses de « consolation ». Epuisé et le cul en feu, Lucas au bord des larmes ne résista plus lorsque son Daddy lui écarta les fesses pour dévoiler la cible tant désirée. Peureusement contractée, elle ne put que laisser passer l’intrus lubrifié à la salive. Le principe de la prise de température est de laisser le thermomètre en place sans le bouger pour attendre qu’il fasse son office. Patrick l’utilisa autrement en le faisant bouger comme si il voulait fouiller l’ampoule rectale tout en préparant l’étroit conduit à autre chose. En termes plus clairs, il lui branlait le cul en cherchant à l’apprivoiser.

Lorsqu’il retira l’instrument médical, le Daddy déclara qu’il n’avait pas de fièvre et que le problème devait être de la constipation. Le doigt qui montre, ou l’index si vous préférez, apporta de la salive au creux de la délicate rose avant de s’y engouffrer malgré les cris de réfutations. La menace d’une seconde fessée coupa net la tentative de rébellion.

  • Petit coquin, je suis convaincu que tu t’ais déjà mis des choses dans ton cul car il n’est pas très serré. Avoues !

Le pauvre « petit » essaya d’habiller la vérité en répondant qu’il avait joué une fois ou deux avec les carottes du réfrigérateur recouvertes d’un préservatif. N’étant pas du tout convainquant, la recherche d’une éventuelle constipation se transforma rapidement à un « doigtage » d’une autre nature.

  • Va au coin main sur la tête, mentir à son Daddy n’est pas bien, tu mériterais une deuxième fessée !

Ne souhait pas se faire « exploser » l’arrière train encore brûlant, le petit tout honteux abdiqua en oubliant sa totale nudité. Patrick se lava les mains avant d’aller installer le lit de Lucas pour une autre forme de soin en descendant le traversin et l’oreiller en son centre. A son retour, le grand bébé n’avait pas bougé et se concentrait sur la sensation d’avoir des milliers de fourmis dans les fesses. Guidé avec tendresse jusqu’à sa chambre, il fut sommé de s’allonger sur le ventre au dessus des cousins pour le soin spécial qui ne pourrait que lui plaire.

Lucas demanda de quel soin il parlait, « que du très bon qui ne fait pas mal » lui répondit son Daddy. A peine fut il allongé sur le ventre avec les fesses bien relevées et exposées au regard gourmand de Patrick, que celui-ci montât sur le lit à son tour pour plonger son visage entre les deux hémisphères pour lui bouffer le cul, ou avec des mots plus choisis, lui faire une feuille de rose. Pendant ses coups de langue cherchant à jouer la spéléologue, les mains de Patrick jouaient avec la petite saucisse et ses fidèles précieuses, manipulations qui ne laissèrent pas Lucas de marbre.

Pendant que son anus s’extasiait de plaisirs enivrants, Patrick mûrissait une folle envie de lui faire tester son thermomètre charnel. Si bien qu’il se leva pour attraper du lubrifiant et un préservatif avant de baisser la lumière. N’étant pas totalement dépourvu d’intelligence, Lucas avait compris les intentions de son Daddy qu’il supplia par avance d’aller doucement étant encore vierge. « T’inquiète pas bébé, ça va bien se passer » fut la réponse du prédateur remonté sur le lit avec à la main, son sabre tendu comme un arc.

Tout en lui mordillant les fesses, le Daddy prévenant lubrifia généreusement la zone concernée tout en reprenant sa visite des lieux pour la détendre. Lorsque le gland turgescent qu’il ne pouvait voir se posa sur sa rosette affolée par la taille du pseudo thermomètre, Lucas était « mûr » à point, il allait réaliser un de ses fantasmes : « faire la femme ». Si on peut se faire enculer sans être une femme, dans la tête du « petit » c’est ainsi que c’était imaginé.

La prise de la Bastille, pastille pardon, ne se passa pas du tout comme il se l’imaginait. La rose étoilée refusait d’éclore malgré la patience et la douceur de Patrick. Lorsque le petit décida que cela ne serait pas possible, il était trop tard pour faire marche arrière, ou, plus indiqué, fuir en marche avant. Son daddy se coucha sur lui en poussant de bon coeur pour faire céder la résistance. Lucas hurla de douleur et eut l’impression d’être perforé, qu’un pieu de feu prenait possession de lui.

L’expression se faire couvrir trouva là deux sens. La première par le coït anal, la deuxième parce que un mètre quatre-vingt dix avec des cent cinq kilos de muscle le couvrait totalement. Une fois en bonne place, le « mâle » s’immobilisa et resta en place malgré les prières du désespérait couché sous lui.

  • T’inquiète, dans un moment ça ira mieux, tu vas adorer si tu te décontractes ! Lui indiqua son Daddy.

Avec une extrême douceur, il commença à s’agiter comme pour finir de prendre possession des lieux. Les draps innocents griffés et fortement écrasés entre les doigts du petit le restèrent longtemps. Non pas qu’il eut mal très longtemps mais parce que les sensations éprouvées commençaient à lui faire perdre la tête. Plaqué sur le lit et emmanché jusqu’à la garde le « petit » ne criait plus de douleur, bien au contraire, il savourait chaque instant de cette sodomie qui, dans sa tête, le rendait « femelle ». Le petit bourgeois se perdit en conjectures du type « je suis ta petite salope, ta soumise, ta .... » pendant une chevauchée qu’il trouva fantastique jusqu’au moment, où, il fut écrasé et comme « fécondé » par un corps s’immobilisant sur lui.

Le retrait du braquemart se fit plus facilement que son entrée et laissa presque ouverte la rose épanouie. Patrick rangea la « marchandise » et referma son pantalon avant d’aller allumer la lumière et d’attraper ce qu’il faut pour préparer le petit pour la nuit. C’est presque avec Amour qu’il lui passa un peu de lait de bébé sur le sexe et l’anus avant de le langer et de lui enfiler la culotte en plastique et le body puis la grenouillère. Ainsi protégé par toute ses « protections » Lucas se laissa porter, sans aucune inquiétude, jusqu’au salon pour fêter son dépucelage avec le délicieux champagne de papa.

Ils trinquèrent au pucelage, biberon contre flutte et se firent quelques bisous bien plus appuyés que jusqu’à ce jour. Câlins, câlinoux, bisous XXL accompagnèrent leurs discussions. Ces dernières finirent par porter sur les expressions du petit « je suis ta petite salope, ta soumise, ta .... » pendant la chevauchée. Patrick le questionna pour en savoir plus. Lucas lui avoua qu’il s’était vraiment senti femme à ce moment là et qu’il lui était arrivé d’emprunter des sous-vêtements de sa mère à défaut d’oser s’en acheter. Poussé dans les confidences, le petit finit pas lâcher que la féminisation comptait de ses fantasmes et qu’il se voyait bien en soumise sexuelle ou petite fille malmenée.

Une aubaine pour Patrick est devenu 100 % gay depuis de très longues années, pour qui, l’idée d’avoir une petite femelle masculine ne lui déplaisait pas, bien au contraire. Il lui proposa, contre un peu d’argent de lui procurer des vêtements féminins pour en faire une « little girl ». En guise de réponse, Lucas tout heureux lui murmura « je t’aime » avant de lui rouler une surprenante pelle de vorace. Les jeunes perdent vite la tête et le sens réel des mots pensa Patrick.

Au moment de la « séparation des corps enlacés », n’ayant pas réellement la connaissance du coût de la vie, Lucas lui donna un quart de son argent de poche mensuel, (celui du contribuable...) soit 400 euros en espèce, pour qu’il puisse faire des achats afin de le féminiser et d’en faire une petite salope bien soumise.

Tout heureux, le petit jeune se coucha sans tarder avec la tête pleine de rêves et de fantasmes. Ce qu’il ne se doutait pas, c’est que ses fantasmes allaient se réaliser au delà de ses espérances, voir même beaucoup plus et même trop.

A SUIVRE

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Bonjour , j'ai moi même un petit sexe et j' adorerais être travesti si j'avais 18 ans , c'est trop tard , dommage.
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